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L’APPART de DiverZarts

Depuis  2015, DiverZarts propose aux Artistes le concept de Présentation d’Art© en appartement.

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GEORGE est née d’une rencontre entre deux artistes et surtout deux médiums : photos et sculpture textile. Son intention, son but, est de mettre en valeur toutes les facettes d’un féminin réel ou fantasmé à travers un personnage « chimérique », mais incarné, dénommé George. George sans « S » par coquetterie mais avec l’idée de l’unité : UNE pour toutes et tous. George pour Sand et le doigt mis sur un monde très patriarcal qui donne souvent plus de valeur, de vertus au genre masculin. George parce que ça rime avec Gorge et que la parole quelle soit dans le verbe ou le signe donne des pistes pour exprimer les multiples facettes d’une idée éthérée comme l’est « l’être ». George et sa perruque, carré à la sauce années folles parce qu’au moins tout le monde peut la porter, du moins on l’espère !

 

Le processus de cette mise en miroir est partie d’une envie de sortir de l’illustration. Comment s’échapper du cadre. Comment permettre aux deux médiums et aux deux artistes de créer le canevas, la fusion entre une 2D photographique et une 3D en sculpture textile. Car la sculpture textile justement ne prend vraiment son sens que quand elle est portée, mise en espace. Et sa trace n’est révélée que par la transcription visuelle de la photographie. Dans notre démarche en tout cas. Alors nous avons alliés nos mains. En partant de l’idée du miroir, nous avons créé des images archétypales avec les clichés d’une séance de pose de George. Recréant par la même et avec l’objet textile une « fusion » entre le tissu et le modèle. Ensuite, le vrai travail de construction /déconstruction prend forme. Retranscrire à quatre mains et deux aiguilles l’univers de ces entités mise en image. A base de récupération d’éléments textiles nous appartenant, (vielles jupes, rideaux, colliers cassés) ou d’anciennes chutes de tissus, nous créons l’histoire en volume. De manière symbolique mais concrète l’histoire rogne le mur, grimpe, s’étale prend de l’ampleur et invite le spectateur à entrer dans l’image.

 

 

 

crédit photo : Collectif George, Elisabeth Porpé, DiverZarts

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Pour cette 5eme édition de l’APPART de DiverZarts,

nous vous proposons de découvrir les peintures

de l’artiste toulousaine Marika Perros.

 

 

l’APPART de DiverZarts

 11 & 12 novembre 2017 de 15h00 à 20h00

 

 131 avenue de Flandre – Bat H – APPART 42 – 75019 Paris

 M° L7 – Crimée / Bus 54 & 60 - arrêt Crimée / T3B & RER E – Rosa Parks

 

 

Cette proposition intitulée Le printemps s’invite à l’APPART de DiverZarts  vous révèlera ses peintures traitées sur le procédé des ‘Haïkus’ et d’autres rendant hommage aux forêts de Nouvelle Zélande.

Marika Perros2 (à lire Marika Perros au carré) présentera ses toiles au format carré.

 

Le trait révélateur

Je pose le bâton d’huile sur la toile. Je laisse ma main courir dans une écriture automatique intime, calligraphique, nourrie d’orient et d’occident et libérée de mes propres limites. Là, dans l’action, des formes apparaissent, servant de révélateur à mes émotions de l’instant. Le trait, tel les plis du rideau de scène, contient en substance, tous les secrets et les non-dit. Ce trait, il le faut vivant, quelques fois dur et tenu, épais et lourd, quelques fois léger et tendre, hésitant et fragile. Le blanc de la toile, surface intacte, accueille et devient une partie intégrante du tout. L’espace du tableau se nourrit, se construit, se révèle être un champ de bataille où noir et blanc se confrontent, s’animent, s’apaisent, se répondent, s’entrelacent… Marika Perros

 

 RETROUVEZ ses travaux sur son site

 

 

Credit photos exposition : Elisabeth Porpe & DiverZarts

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Architectures  aux pieds d’hommes  -  Migrations interurbaines

 

 

Le GRAND PARIS, LYON, MARSEILLE, NANTES, BORDEAUX etc …

sont source de mon inspiration.

Les villes se trouvent êtres dans un renouveau de reconstruction, repoussant leurs limites du centre vers leurs faubourgs et au delà de leurs périphéries. Elles créent une migration interurbaine, rendant les populations invisibles où seule l’architecture horizontale et verticale se dessine devant nos yeux.

 

Les centres villes, de nouveau deviennent des musées à ciel ouverts réservés à une tranche de population qui peut financièrement se les acquérir ou dite internationale.

 

Mes architectures sont portées par ces migrants des centres ville vers ces nouveaux espaces urbains, questionnant la mobilité de l’habitat liée aux  facteurs économiques et à la rupture des repères de leur cadre de vie.

 

Dans ce travail graphique, je me réapproprie la ville dans une juxtaposition donnant une image globale de plus en plus concentrée et colorée.

Imaginant de nouvelles formes.

Donnant l’impression de ne pouvoir pénétrer cet ensemble.

 

Seul le regard du spectateur peut trouver à déambuler au travers  de son imagination dans ces ensembles architecturaux.

 

 

 

Credit photos exposition : Elisabeth Porpe, Christophe Horlain & DiverZarts

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Elle se déploie dans la grande pièce centrale de l'appartement : sur un mur, une pyramide de photographies monte vers le plafond. Sur d'autres, quatre tirages grand format noir et blanc et un autre saturé de rouge. Et puis, il y a un écran d'où, inlassablement, surgissent d'un diaporama en boucle, de multiples figures, des personnages, des situations, des scènes qui tous nous renvoient une image diffractée de ce que nous sommes.

 

Extrait de SISMOGRAPHIE DE NOS CROYANCES de Martine Catois

- TK-21 LaRevue - N° 55

 

l'integrale du Texte sur ce lien

 

DOSSIER-PRESSE-AD-P.LUJAN.pdf
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Credit photos exposition : Elisabeth Porpe , Pol Lujan  & DiverZarts

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Joëlle Bondil est plasticienne, scénographe, enseignante, formatrice ainsi qu’illustratrice, infographiste et/ou rédactrice.

        

Elle intervient ici en tant que plasticienne proposant dessins et projets.

 

“ Le sujet principal et dans une certaine mesure le motif principal :

le corps - tout ou partie - exploré de différentes façons : médiums, formes, espaces, états et échelles. 

 

Témoigner de l’impermanence de la matière et de la condition humaine.

 

Divers médiums parfois mixés afin d’initier un travail sur la matière, le processus de fabrication, le sens, et le mode de représentation : dessin  aquarelle, crochet, broderie, vidéo, photographie, animation. 

Le dessin reste présent d’une manière ou d’une autre.

 

Dans le processus de création passer par différents niveaux et des ramifications, tendre ainsi vers ce qui n’est pas univoque. 

 

Construire autant par les vides que les pleins (et les suspends). 

 

Travailler avec l’absence, ce qui fait défaut ou pourrait faire défaut, manque, a disparu et comment produire du concret avec ce qui n’est pas là, plus là ou s’échappe.

 

Rechercher une sorte d’équilibre sensiblement instable, fait de pauses, de repos, d’écoulements, de raccords de réseaux, de prolongements de transformations comme de mouvements brusques.

 

Ce qui pourrait se figer, s’arrêter est par la même aussi interrogé cela fait partie du processus.  

 

Se poser la question du rapport à instaurer : dialogue, imprégnation, confrontation.

 

Quand il s’agit d’une exposition après production, la considérer comme une nouvelle étape de création. L’œuvre est remise en travail afin de concevoir une installation, un accrochage appropriés voire de nouveaux supports et formes.

 

Des propositions plastiques qui sont pour la plupart en possible évolution/transformation.

 

Et ne pas faire l'économie du chemin, bien au contraire. “ jb

 

Credit photos exposition : Elisabeth Porpe, Joëlle Bondil  & DiverZarts

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Stéphane Thévenon, photographe autodidacte. Cofondateur en octobre 2011 du collectif Street-Art Shooteurs, avec lequel il développe sa propre vision du monde urbain, de la culture alternative, en immortalisant des artistes, principalement graffeurs dans leurs terrains de jeux, comme des urbex ou dans la rue. Il capture ces moments éphémères, brut ou pendant leur création .

 

De ces rencontres naissent des collaborations comme celles que vous découvrirez dans l’Appart de DiverZarts.
La particularité de sa technique du « fish eye » permet à la personne qui regarde sa photographie de voir le sujet dans son environnement de façon différente laissant  l’imaginaire opérer.

Les thématiques qu’il nous propose: ‘L’obsession, celle ‘d’Anima dans tous ses états’ et la capture brute du ‘Regard sur l’éphémère’ ;  l’expression urbaine.

 

PHOTOS de l'APPART de DiverZarts - Stéphane Thévenon

Credit photos exposition : Elisabeth Porpe , stéphane thevenon & DiverZarts

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Le KunstTag du Stube

En 2013, le Stube célèbre les artistes

 

 

50e anniversaire du traité de l'Elysée commémorant l'amitié Franco-allemande.

 

 

le Stube, ambassadeur de la gastronomie allemande à Paris lance Le KunstTag du Stube, présentation régulière de travaux d’artistes en partenariat avec notre association DiverZarts.

 

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Pour cette sixième

'Présentation d'Art'©

dans le cadre du 

KunstTag du Stube,

 

DiverZarts partenaire du Stube

 a présenté les tableaux de

 

Guillaume ORTEGA

un artiste  dont le travail  de collage et peinture revisite notre histoire.

 

Pour cette dernière de l'année, Le temps et l'histoire se sont mêlés dans un décalage décadent intitulé

 

 'de pire Empire'.

Un texte de Catherine Tullat   intitulé  ‘Ironie temporelle’ interprètait le travail de l’artiste.

 

Texte-Catherine-Tullat.pdf
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 Pour cette cinquième édition

    du  9 septembre au 5 octobre

 

'Contemplation Urbaine'

 

  l'artiste illustrateur

Yan Thomas

présente

ses Gravures et Monotypes

  autour des 

'Jardins Urbains'

 

aux Stube Verdeau, Richelieu

et Goethe Institut

 

Lectures de poèmes en echo aux gravures exposées par

Mario URBANET auteur et poète

                       

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Pour la quatrième édition

du 27 mai au 22 juin

présentation des travaux photographiques

de l'artiste plasticien 

Camille LEBOE

 

 Pour fêter  l'été, le corps est à l'honneur dans une représentation singulière

avec

 

'Essence & abnégation'

 

 

aux Stube Verdeau, Richelieu

et Goethe Institut

 

 

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Pour la troisieme édition

du 15 avril au 11 mai

présentation des travaux

de l'artiste plasticien 

JEAN MURGUE

 

 Pour fêter  le printemps, il nous propose au travers de dessins, photographies et sculptures

un 

'Eloge de la nature'

 

 

aux Stube Verdeau, Richelieu

et Goethe Institut

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Pour la seconde édition

du 04 au 30 mars,

présentation des travaux

de l'artiste plasticienne  Lor-K

 

 Elle y aborde photographiquement

la thématique de l'abandon

en présentant les projets

'objeticide'

et

'Espèce de...'.

 

aux Stube Verdeau, Richelieu et Goethe Institut

 

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  pour fêter le 

 50° anniversaire du traité de l'Elysée

du 22 janvier au 16 février,

aux Stube Verdeau, Richelieu et Goethe Institut


présentation du travail de l'artiste rémois 

Christophe Horlain

avec ses dessins architecturaux

intitulé 'Le Grand Pari'

dans la langue de Goethe  

'Die Grosse Wette'. 

 

 

Rencontre avec l'artiste le vendredi 25 janvier 

lecture du Poème URBAIN

de Catherine Tullat

(auteur scénariste) 

 

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‘Présentation d’Art’© à MusikàVenir - Pantin

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À l’invitation de MUSIK À VENIR qui a inauguré ses nouveaux locaux au 142Ter avenue Jean Jaurès à Pantin, l’association DiverZarts  a proposé pour cette inauguration officielle prévue le 22 juin 2013 à 11h00, une Présentation d’Art Contemporain réunissant trois artistes de générations différentes : 

Une collaboration associative  

 

DiverZarts 

MUSIKAVENIR

Cie Nawel OULAD

 

avec

le concours de la ville de Pantin

     Lionel Godart  

     peintre abstrait, présente des œuvres issues des séries

     ‘SO’‘Mémoires Blanches’

Christophe Horlain

    plasticien, présente un ensemble de dessins

    architecturaux

    de la  série ‘Le Grand Pari’.

   Sarah Barthelemy-Sibi

     plasticienne, présente une installation papier

     De blancs et de vides’ faisant partie du cycle ‘Jungle’.

Cette proposition s’inscrit dans une volonté de DiverZarts de favoriser le facteur culturel du futur Grand Paris dans une démarche plaçant l’éducation artistique au centre de ses préoccupations.

De ce fait, DiverZarts crée une passerelle artistique entre Paris et sa proche Banlieue.

Lors du vernisssage du 20 juin   DiverZarts à proposé à Nawel OULAD accompagnée de Mélanie BADAL au violoncelle,  de présenter une performance  Dancelle interprétation de l'oeuvre de Sarah Barthelemy-Sibi.

 

Performance lors de l’inauguration avec les jeunes artistes de MUSIK À VENIR : DJ Willy & Abdoullah (slam), Justy & ses élèves (Chant), Youssef & Andy (rap), Chaneel et ses danseuses,  l’équipe de Crescendo (Double-dutch).

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