Les artistes associés à notre projet

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Les artistes

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Jennifer  Mackay

 

Jennifer Mackay est plasticienne, elle pratique le dessin, la peinture et l’installation en relation avec le corps.          

 

Un compte à rebours commencé il y a neuf ans, m'a amené, de façon presque psychanalytique à entrer à l'intérieur, créant une sorte de codex fantasmagorique, peuplé de mémoire inconsciente venant de l'enfance, de peur, d'ironie voire de sarcasme.

Dans mon atelier qui a pignon sur rue, cela me permet une exploration intensive de mon travail artistique car il n'y a pas de distance.

Il n'y a pas de sécurité comme dans une galerie ou une école d'Art.

Tout est en ligne directe avec l'interaction d'un public sensibilisé ou pas.

L'Atelier et ce qui s'y crée est devenu rapidement une "matrice", un lieu expérimental où le lien humain prend du sens, bouillonne et s'auto régénère régulièrement.

 

Grâce à ces rencontres et questionnements, mon travail a évolué pour s'adapter à mes propres évolutions, me permettant de sortir du cadre de la toile ou de la feuille tendue. Une grande liberté apparaît dans les supports et médiums utilisés, souvent artisanaux (la broderie, la couture, le tissus...) le recours à de vieux meubles (lit, chaises, consoles...) pour les installations (ou scénarisations, comme je les nomme).

Au gré des transformations psychologiques, se crée autant d'espaces intimes et domestiques, protecteurs ou menaçants.

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.mackayjennifer.com

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Christophe Horlain

Né en 1973 à REIMS,  vis et travaille à Paris.

Artiste plasticien, a étudié l'histoire de l'art architectural auprès de guides conférenciers.

Fréquentant des étudiants des beaux arts, a eu la chance de les accompagner dans leurs travaux et recherches, ce qui lui a permis d'avoir un regard sur l'art contemporain.

Sa plus grande fascination reste les vitraux. La lumière de ceux-ci, leurs couleurs vives ou ternes ont inspiré sa façon de développer son art, le vitrail est le seul art ou la lumière est dans l’œuvre.

 

En parallèle de son activité d’éducateur spécialisé et d’animateur plasticien, il a développé sa création autour de la notion de territoires, la cité et son architecture. Son travail autour de la couleur donne vie à ses œuvres sans recherche figurative. Son regard porté sur l’évolution de la société l’interroge sur le plan moral et psychologique, lui imposant le développement d’installations.

Dernièrement ses interrogations sur les notions de temps et de mémoire liées au passé à donné naissance à la création in situ à Berlin de l’œuvre  ‘Passé du temps qui passe’.

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.christophehorlain.com

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Joëlle  Bondil

 

Joëlle Bondil est plasticienne, scénographe, enseignante, formatrice ainsi qu’illustratrice, infographiste et/ou rédactrice. Elle intervient ici en tant que plasticienne proposant dessins et projets

Mon univers artistique est un témoignage sur l’impermanence de la matière et de la condition humaine déclinées par différents moyens.

 

J’utilise divers médiums parfois mixés afin d’initier un travail sur la matière, le processus de fabrication, le sens, et le mode de représentation : dessin, aquarelle, crochet, broderie, vidéo, photographie, animation.

Le dessin reste présent d’une manière ou d’une autre et est actuellement une pratique que je privilégie.

 

Dans le processus de création je passe par différents niveaux et des ramifications, j’essaie de tendre ainsi vers ce qui n’est pas univoque.

Je construis par les vides, les pleins et les suspends. 

Je recherche une sorte d’équilibre sensiblement instable.

J’interroge par là même ce qui pourrait se figer, s’arrêter.

J’aime prendre le temps du chemin (ne pas en faire l’économie) et de l’expérimentation.

Je cultive ma capacité d’adaptation en sachant que le repentir est pratiquement impossible dans certaines de mes pratiques.

Je me pose la question du rapport à l’œuvre : dialogue, imprégnation, confrontation ?

Quand il s’agit d’une exposition après production je la considère comme une nouvelle étape de création, je remets l’œuvre en travail afin de concevoir une installation, un accrochage appropriés. 

 

Ainsi mes propositions plastiques sont pour la plupart en possible évolution/transformation.

Dans ma démarche de recherche et de création je mélange ainsi le sensible, le sens et la distance et je ne perds pas de vue cette notion: laisser à l’autre de la place pour l’expérience.

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.joellebondil.com

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Morgane Le Guillan

 

L’œuvre de Morgane Le Guillan interpelle sur la place donnée à l’individu dans des champs de réflexion où l’être humain est déterminé par son corps biologique. En effet, au fil des années, le corps humain gagne sans cesse en malléabilité quant à son exploitation dans des domaines aussi vastes que la politique, la biologie ou la technologie. Morgane Le Guillan imprègne chacune de ses pièces de cette inquiétante étrangeté qui pousse le spectateur à s’interroger sur les limites de son propre corps. Elle abolit les frontières du dehors et du dedans, de la science et du fantasme, amenant le corps-chair à se retrouver affublé de lui-même par l’extraction d’unités de son organisme à partir desquelles l’artiste crée des prothèses ou des installations, mettant le regardeur face à une part de lui-même. Morgane Le Guillan ne théorise pas le corps humain dans sa réalité. Elle le raconte autrement, au travers de divagations sensuelles et saisissantes où rien n’est figé, toujours saisi en travail tel un organisme palpitant vers un devenir encore inconnu qui séduit tout autant qu’il inquiète.

 

 

Retrouvez ses travaux sur son site : http://www.morgane-leguillan.fr/

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Yves Helbert

 

 

Yves Helbert est un artiste autodidacte, qui a fait seul ses classes devant les tableaux des grands maîtres qui l'ont précédé. Avec la distance et l'humour que semble avoir exacerbés chez lui son apprentissage en solitaire, il se fait à la fois artiste et historiographe d'une histoire de l'art que ses œuvres invitent à revisiter sans cesse.

 

 

 

Par le dessin au graphite, en noir et blanc, ou à travers d'ingénieux dioramas, il insère dans ses compositions des formes souvent étrangement familières, ici l'Ophélie noyée du peintre préraphaelite John Everett Millais, là la version « sardine » du requin-tigre placé dans une cage de formol par Damien Hirst (The Physical Impossibility of Death in the Mind of Someone Living) venu introduire le trouble dans le musée d'art contemporain. L'artiste puise, semble-t-il, ses références dans des œuvres emblématiques. Il cite autant de périodes différentes de l'histoire de l'art qu'il convoque et réactualise.

 

 

 

Mais à la citation s'ajoute l'écart, le décalage, opéré par les juxtapositions du familier et de l'inconnu, par l'association incongrue de l'histoire racontée par l'image à celle entendue dans l'inscription dont l'artiste l'accompagne toujours. À cette figure couchée, recroquevillée sur elle-même et rendue par un raccourci virtuose, est associée celle-ci : « l'héroïsme moderne ». L'esprit, immédiatement, inévitablement, tente de lire l'un par rapport à l'autre. Pourtant quelque chose ne colle pas. En lettres capitales, dans une typographie aussi neutre qu'invariable, l'inscription est-elle un titre ? Une clé de lecture ? Un commentaire ironique ? Elle s'inscrit, insidieusement, dans cet esprit du spectateur confronté à l'image, sans pour autant le guider vers quelque interprétation apparue plus possible ou plus juste qu'une autre.

 

 

 

Yves Helbert dissocie ce qui avait l'habitude de se compléter, extrait de l'histoire de l'art, mais aussi de vieux journaux ou d'Internet, des images qu'il prive de leur contexte pour mieux faire naître le trouble. Le résultat est plein d'humour, apparemment léger et délicat. Les œuvres laissent pourtant planer le doute. Et la démarche de s'inscrire aussi bien dans la continuité de celle d'un Magritte, peintre finalement plus conceptuel que surréaliste, que dans une veine initiée par Duchamp. Comme chez ce dernier, les choix d'Yves Helbert, qui auraient pu passer pour arbitraires semblent finalement guider la réflexion vers « d'autres régions plus verbales », pour citer, à notre tour, l'inventeur du ready-made. Ses dessins autant que ses dioramas s'affranchissent de leurs clés de lecture habituelles pour qu'en adviennent de nouvelles.

 

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.yves-helbert.net

 

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Florence Brodard

 

Florence Brodard vit et travaille à Paris, son atelier est situé à Fontenay-Sous-Bois.

Depuis de nombreuses années, elle s’est fait reconnaître dans le monde de la mode par ses créations.

 

Ses sources d’inspirations ont toujours priviligiées la recherche de formes simples colorées.

Depuis quelques années, son travail de création s’est ouvert au domaine du dessin.

Ce n’est que depuis peu qu’elle expose son travail au public.

La technique employée ici, est le pastel gras sur papier.

 

Mes dessins.

Miroirs d’un monde inconscient.

Reflets de l’invisible, sont le fruit d’un processus pendant lequel, émerge une forme directement transmise de l’inconscient à la main. Relayé par le regard qui va donner chair à la proposition.

Donnant naissance à des images à la fois, naïves et matures, simples et puissantes, gaies et dérangeantes.

 

* Son univers est peuplé de créatures improbables dont les formes amiboïdes déjouent toute tentative de fixation d’une échelle.

Microcosme ou macrocosme.

Ce sont des incarnations graphiques d’un lent processus d’émergence instinctive de formes probablement refoulées. Même si la démarche en est radicalement différente, profondément individuelle – individualiste, même – ces dessins peuvent faire penser aux cadavres exquis des surréalistes.

Le résultat, loin de toute grandiloquence ou de tout drame, est à la fois spontané et mûri, naïf et expressif.

* source MAC / PARIS 2014 - extraits

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.florencebrodard.com

 

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Marika Perros

Entre orient et occident

 

Mes origines sont multiples, et dès l’enfance, entre pays d’orient et d’occident, mon œil se nourrit. Ma peinture transpire de ces influences. Celle des moucharabiés, des motifs de mosaïques, des enluminures arabes, des portes de souk, des céramiques grecques, de la renaissance italienne, en incluant plus tard la bande dessinée, les modernes et les contemporains.

 

Depuis l’enfance, j’ai une facilité à voir des choses dans les taches. Ce sont elles qui me guident. Telle une nomade sur la toile, ma main court dans une écriture automatique et révèle des formes humanoïdes ou des paysages.

 

C’est un jeu constant entre abstraction et figuration, donnant à suggérer au spectateur, à partir d’un imaginaire connu, un monde, qu’il peut s’approprier, devenant lui même lecteur-créateur du tableau.

 

Je veux une oeuvre en mouvement et qui ouvre l’imaginaire.

 

Après avoir travaillé en poussant la couleur à son paroxysme, je suis progressivement revenue vers mes premiers amours, le noir et blanc. La phrase d’Hokusaï : le trait doit être vivant, est une phrase qui m’a obsédé toutes ces années, jusqu’à devenir la préoccupation principale de toute ces séries : les paysages abstraits, les « Haïkus », les Don Quichotte.

 

J’ai choisi les matériaux en fonction de ce qu’il représente pour moi ; le lourd avec le baton d’huile, le léger avec l’encre de chine ou le brou de noix, le nerveux avec le crayon.

 

Mes « Haïkus picturaux » parlent du présent. Pour les peindre, seul l’acte est important et ne donne aucun droit à l’erreur, la retouche étant impossible. Une méditation précède l’acte de peindre qui implique d’être au plus prés de soi, d’être complètement dans l’acte sinon d’être l’acte lui même.

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.marikaperros.com

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Anne-Laure  Maison

Anne-Laure Maison est née en 1979 à Lyon, elle vit à Paris.
Après un diplôme de designer d’espace aux Beaux-Arts de Toulouse, elle a travaillé en agence d’architecture (R&Sie, François Roche, 2002). Puis décide de se consacrer exclusivement à sa pratique artistique après sa résidence au Pavillon du Palais de Tokyo (2004-2005).

 

Fascinée par la façon dont les hommes vivent dans ce monde et profondément habitée par son propre nom de famille, tout son travail parle d'architecture, du rapport entre l'homme et le construit, de la façon dont il se l'approprie...

 

Sa dernière série de collages "Femme-Maison", questionne l'image de la femme contemporaine, forte, libre et autonome, capable de porter sa propre architecture...sa maison. Fières de ce qu'elles sont et revendiquant leur émancipation, ces allégories s'affichent sur les murs des villes qu'Anne-Laure traverse.

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.annelauremaison.com

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Sophie Cusset

Sophie Cusset est comédienne, metteure en scène et scénographe. Directrice artistique de la compagnie Octavio depuis 1991 avec Gilles Ostrowsky et Jean-Matthieu Fourt, elle écrit, joue et scénographie des créations contemporaines aux images fortes et burlesques issues le plus souvent d’une écriture de plateau : Vert Pomme, Débacle, Un miracle ordinaire (Schwartz), Men at work (Eugène Durif), Héroïnes (Dario Fo), Hop là Fascinus, Marilyn était chauve...

 

Cette approche du rire et du contemporain influence fortement son parcours artistique et sa vision photographique.

 

Par la création de scénographies et de costumes elle développe son rapport poussé à l’image, au cadre et au décor. Ces spectacles ont, entre autres, été joués en France à la Grande Halle de la Villette, auThéâtre Paris Villette, au Quartz à Brest, au Théâtre du Peuple à Bussang, à la scène nationale de Cergy Pontoise, au CDR de Colmar, en Chine et aux Etats Unis.

 

Au théâtre, elle joue sous la direction de Pierre Guillois, avec qui elle collabore pendant 10 ans, mais aussi avec Gilles Ostrowsky, Rodolphe Dana et les Possédés, Marc Prin, Urszula Mikos, Thomas Dalle, Madeleine Mainier, Stéphanie Chênes, Sylvie Philibert, Vincent Colin, Pascale Siméon, Laurent Gutmann, Philippe Eustachon et Yvett Rotscheid...

 

Au cinéma, elle travaille avec Lucia Sanchez, Bérénice André, Sophie Langevin, Tatiana Vialle, Nathalie Mauger, David Jungmann.

 

Sophie Cusset vient d’une «famille photos», élevée dès l’enfance au Polaroïd. Petite, elle joue dans les films super 8 de son grand père. Elle garde en héritage cet amour de l’immortalisation de la mise en scène familiale.

 

Elle arrive dans le monde de la photo en photographiant ses spectacles et en signant tous les visuels qui accompagnent les créations

 

En 2012, elle crée l’affiche de son défilé théâtral Wonder WOMAN, sur laquelle elle se met en scène en super héroïne du quotidien dans sa cuisine avec ses enfants.

 

Cette affiche sera le début d’une réflexion sur la place de la femme dans le monde contemporain et deviendra la première photo de la série qui dure maintenant depuis 5 ans et qui a depuis été exposée dans de nombreux lieux.

 

Retrouvez ses travaux sur son site : www.wondersophiecusset.com

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Céline  Lebovitch(Miss fuck)

 

Je suis née en 1973 en Seine-Saint-Denis.

 

J'ai toujours été attirée par l'art, la musique, le théâtre, et le dessin. Artiste autodidacte, je suis pochoiriste et j’utilise principalement la bombe, mais le temps et les rencontres m'amènent à travailler différemment. J'aime expérimenter sur tous les supports, rien ne m'arrête du moment que je me sente libre de penser et de m'exprimer, je ne refuse qu'une chose: devenir insensible.

La rue est également un bon moyen d'exposer, j'aime la rue car j'aime les gens, l'échange et le partage.

L'art me permet d'extérioriser mes révoltes, mes coups de gueules ! (J’en ai des tonnes alors je n'ai pas fini de peindre). Mon travail c'est moi!!! Du vif, de l'impulsif, des couleurs, du sombre parfois, de l'écorché souvent, des plaies, une atmosphère; enfin tout plein de choses en constantes réaction, un univers : PUNK'S NOT DEAD

 

http://celinelebovitch.wordpress.com

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Pol  Lujan

 

Ma rencontre avec la photographie, à un âge où le monde s’offre à vous et où la conscience balbutiante de notre moi se heurte, se confronte à la réalité de la multitude des autres, leurs histoires, leurs destins, a été déterminante.Mes photos n’expliquent rien, elles proposent une réalité que j’ai rencontré partout et chez tous, hors d’un monde bombardé d’images commerciales sans sens réel, qui court après la productivité, la rentabilité à outrance vers une idéologie individualiste qui ne favorise pas l’épanouissement....

Si, de part mon art, mon métier, ma passion, j’ai la possibilité de partager avec mes semblables une vision, c’est une vision humble et émerveillée par tant  « d’humanité » et devant la permanence de l’innocence du monde

La vie dans son essence simple et immuable.

 

https://www.facebook.com/pol.lujan

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Stéphane Thévenon

Stéphane Thévenon, photographe autodidacte.

Cofondateur en octobre 2011 du collectif Street-Art Shooteurs, avec lequel il développe sa propre vision du monde urbain, de la culture alternative, en immortalisant des artistes, principalement graffeurs dans leurs terrains de jeux, comme des urbex ou dans la rue.

Il capture ces moments éphémères, brut ou pendant leur création .

 

Retrouvez ses travaux sur  

 http://stephane-thevenon.blogspot.com

 

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Guillaume Ortega

Un artiste  dont le travail  de collage et peinture revisite notre histoire dans sa série intitulée 'de Pire Empire'.

Il dirige la galerie 'ATELIER NOLLET' 1 rue Nollet 75017 PARIS.

 

 

Retrouvez ses travaux sur son site www.ortega.fr 

 

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Yan  Thomas - illustrateur

Illustrateur , peintre et graveur, Yan THOMAS pratique aussi le carnet de voyage depuis plus de 20 ans.Il commence un nouveau travail suite à la découverte de carnets "en accordéon" permettant de concevoir des paysages panoramiques.

 

Dans les jardins publics; endroits de repos, de jeu et de contemplation au cœur des villes, Yan THOMAS dessine des paysages. Ses observations sont ensuite retravaillées en atelier de gravure.Dans ces images gravées l'homme, la nature et l'espace urbain traversent les quatre saisons par des mouvements graphiques et colorés.

 

Retrouvez ces travaux sur son site www.yan-thomas.fr

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Sarah Barthelemy-sibi

Née en 1982, vit et travaille à Paris.

C’est après des études de stylisme que je me suis dirigée vers les arts plastiques. A travers différents médiums : peinture, sculpture, gravure ; se sont révélés trois grands axes de travail : capter le vivant, questionner notre relation au corps et au mouvement et inventer de nouvelles façons d’entrer en contact avec l’autre.

La création d’un espace à partager a ensuite semblé le moyen évident d’explorer toutes ces questions à la fois. Je me suis alors dirigée vers les installations. Construire un endroit hors du temps et de l’espace habituel me paraissaient être le moyen le plus direct de plonger le spectateur dans un univers inconnu, de bousculer ses repères mais aussi de créer un environnement rassurant qui lui permette de s’écouter, de s’observer, de lâcher prise.

 

Sculpter le vivant et fixer son énergie. Considérer le corps, le mouvement, l’espace, comme des matériaux et cultiver avec eux un rapport direct et intuitif. Fabriquer simplement un espace ou nous serions nous même. Ne rien suggérer, ne rien signifier. Construire une parenthèse blanche, vierge de message, au sein de laquelle on puisse observer, laisser défiler, ses visions intimes, ses sensations subtiles, et guetter le surgissement de l’émotion. Proposer un lieu dans lequel chacun puisse trouver l’oubli, plonger dans un état de conscience second, trouble et flou et flotter un instant entre rêve et réalité.

 

Retrouvez ses travaux sur son site S-B-S

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Camille Leboe

Camille Leboe vit et travaille à Paris. Il étudie les arts plastiques, travaille à partir de différents médiums dont principalement la photographie, la sculpture et la vidéo.

Son travail se situe autour de la question de l’espèce humaine dans sa représentation figurative et de son interaction au sein de l’environnement contemporain. Ces œuvres retracent donc une vision satirique portant sur l’espèce humaine dans son évolution. Ces différents projets permettent ainsi d’imager une certaine projection du post-humain. Il s’agit presque d’un rapport anthropologique rendu possible par les différents moyen plastique mis en œuvre.

 

retrouvez ses travaux sur www.camilleleboe.fr

et sa dernières vidéo

 

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Jean Murgue

Né en 1960. Vit et travaille à Boissy-Saint Léger.
Diplômé de l’Ecole nationale supérieure des Arts-Décoratifs à Paris et de l’Ecole supérieure d’Expression Plastique à Tourcoing.

Jean Murgue présente un ensemble de dessins, sculptures et photographies proposant une évocation singulière de la nature.

Il révèle dans les choses de la nature l'existence d'une part d'ombre et de mystère.

 

Retrouvez ces travaux en ligne à cette adresse

visionnez une interview de Jean Murgue

 

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Lor-K



Lor-K est depuis toujours attirée par la pratique plastique. Influencé dès son enfance par les Streets artistes, elle va chercher à investir la rue différemment. Née en 1987, elle vit et travaille en région Parisienne. Dans sa démarche elle utilise les objets "abandonnés" en espace urbain. Elle les repère, se les approprie et les ré-abandonne. Ces objets trouvent alors une nouvelle identité façonnée  qu’elle met en scène dans l'espace urbain.

 

retrouvez ces  travaux sur  www.lor-k.com

et la vidéo Installation Urbaine Ephémère

 

 

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Les artistes Chorégraphiques

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Nawel  Oulad  & la Cie Nawel Oulad


La compagnie Nawel Oulad, créée en 2011 et parrainée par Michèle Guigon (Compagnie du P'tit Matin), se veut pluridisciplinaire, la danse et le corps constituant l’axe central de ses créations, qui ont toutes comme fil conducteur le mouvement dansé et la question du corps dans notre rapport au monde et à autrui.

En complément des créations chorégraphiques qu’elle porte, la compagnie mène un travail de recherche sous la forme d’ateliers et de stages : l’écriture chorégraphique part de l'improvisation, la spontanéité part du corps, qui est son expression propre. Les projets se confrontent à des thématiques de société en dialoguant avec diverses disciplines. La compréhension, le questionnement du spectateur sont importants. Ainsi, lors de la diffusion des créations, la compagnie propose des ateliers pédagogiques autour des spectacles.


retrouvez les créations de la Cie sur son site www.naweloulad.com

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Les collaborateurs

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Elisabeth Porpé - Zaromcha communication

 

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